Prendre la vie comme elle vient

Ca ne se passait pas très bien dans la boite où je travaillais avant, du coup j'ai démissionné. Deux mois à attendre entre le moment où j'ai envoyé ma lettre et celui où j'ai quitté définitivement l'entreprise. Deux mois de préavis obligatoire à aller travailler sans motivations, fatiguée en permanence, à amasser des heures de travail anormales, de mauvaises humeur... même pas le temps nécessaire pour se chercher un nouvel emploi.

Début janvier ces deux mois passés j'ai enfin quitté mon travail, à la fois engoissée par cet avenir incertain qui s'annonce et soulagée par l'abandon définitif d'une source de problèmes. Décidant de me laisser une bonne semaine de repos (j'ai déjà mis quelques sous de côté en prévention des difficultés à venir) j'en ai d'abbord pofité pour faire les choses que je n'avais plus le temps de faire et je me suis rendu dans une entreprise que j'aime beaucoup à la rencontre de personnes que j'adore. Ils avaient justement du travail à me proposer régulièrement. A peine j'y avais mis les pieds que j'avais déjà une première pige pour le week-end suivant. Les jours passent et les piges s'enchaînent. Finalement c'est un statut qui me convient bien et il semblerait que je sois bien partie pour durer.